La culture Venda
La culture et les traditions de Venda sont enracinées dans les responsabilités des chefs royaux, appelés mahosi ou vhamusanda dans la langue de luvenda, ce qui signifie chefs ou chefs traditionnels chefs de type royal.
Dans la culture Venda, les membres de la famille royale et leurs enfants incarnent les bonnes mœurs et donnent l’exemple à leurs communautés. Selon un proverbe sur les bandages, s’ils manquent de valeurs, ils dégagent une mauvaise odeur: “mukololo a kola u a nukha“.
Les personnes se revendiquant de cette culture Venda vivent à la frontière avec le Botswana, au nord-ouest de Pretoria.
Les us et coutumes de la culture Venda
Les règles de comportement et les traditions Venda sont respectées par la famille royale et la communauté. La culture Venda est également guidée par les écoles d’initiation traditionnelles où les enfants en apprennent davantage sur leur culture et sur la manière de se comporter à la maison et dans leur communauté.
Les femmes apprennent des tâches telles que le ménage, aller chercher du bois et des légumes, se laver et faire la cuisine. Elles apprennent également à se laver et à garder leur maison propre. Ils apprennent en jouant, en chantant et en dansant. Les filles et les femmes apprennent également à faire du travail manuel, comme fabriquer des nattes, des paniers et des poteries.
Les hommes sont responsables de s’occuper de l’élevage, alors on enseigne aux garçons la gestion du bétail. Ils découvrent également les arbres qu’ils peuvent aller chercher comme bâtons pour la construction de huttes, de fosses à grains et de clôtures, et s’initient à la chasse aux oiseaux et autres animaux.
La danse dans la culture Venda
La danse occupe une place importante dans la culture Venda et, dès son plus jeune âge, les enfants apprennent à danser, à jouer du tambour et à fabriquer des instruments de musique.
Il existe différentes danses traditionnelles Venda, certaines pour les hommes uniquement et plusieurs pour les hommes et les femmes ensemble. Ces danses sont malende, tshikona et matangwa. Il existe également une danse appelée tshigombela, exécutée par les femmes uniquement, qui transmet des messages sur ce qui se passe dans les communautés.
Quand toutes ces chansons sont chantées, les gens s’exclament en applaudissant, en chantant et en battant des tambours. Même lorsque la chanson porte un message malheureux, les autres répondent en chantant pour changer d’humeur !
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